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26 mag 2011

In caso di necessità

di Luciano Caveri

Chi mi conosce sa che ho sempre ritenuto necessario moltiplicare sul territorio valdostano l'uso dei defribrillatori, come avviene in tutti i Paesi civili. Leggo su "Le Nouvelliste" la notizia che «Cabinets médicaux bien sûr mais aussi remontées mécaniques, piscines, écoles, salles de spectacles, banques, usines électriques et bientôt cabanes d'altitude. Depuis peu, ils ont fait leur apparition dans une grande chaîne de commerce de détail. Migros Valais en a équipé tous ses points de vente, ce qui porte le nombre de défibrillateurs en Valais à environ trois cents». Segue un'intervista a Jean-Pierre Deslarzes, direttore medico dell'Organisation Valaisanne des Secours (il nostro "118"), che dice: «ce type de démarche est à saluer. Car l'arrêt cardiaque est un grave problème de santé publique. Chaque jour en moyenne, un cas est signalé dans notre canton. Il survient chez des personnes encore souvent jeunes et apparemment en bonne santé. Nous soutenons donc la formation à la réanimation et à l'utilisation de défibrillateurs. Il faut savoir qu'actuellement, les mesures de réanimation se sont simplifiées - on ne pratique plus la ventilation - et chacun peut s'initier en trois ou quatre heures de cours à ces techniques et au maniement du dispositif». Sui possibili rischi spiega il direttore Deslarzes: «Ces instruments semi-automatiques sont extrêmement sûrs et fiables. Ils donnent des instructions vocales pour guider les secouristes à chaque étape de la réanimation. Ils savent analyser le rythme cardiaque et après la transmission d'un choc électrique, un métronome incorporé règle la vitesse de compression thoracique correcte à poursuivre dans le cadre d'un massage cardiaque continu». Insomma: una proposta interessante, che dovrebbe riguardare il pubblico e il privato e con una logica di mappatura del territorio che consenta al cittadino, in caso di necessità, di conoscere dove ci sia un defibrillatore e più la zona è marginale rispetto alle strutture di pronto soccorso e più risulta utile questa apparecchiatura. In passato si parlò anche in Valle di una campagna di distribuzione capillare dei defibrillatori, ma poi nel concreto purtroppo non ci siamo.